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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 10:33

« Plus de 5.000 interpellations, des milliers de gardes à vue, des centaines de mandats de dépôt et d’incarcérations, près de 2.000 blessés, des dizaines de fractures faciales, 12 éborgné(e)s, des fractures du crâne, et ce, dans le silence quasi total des grands médias français… Imaginez ce qu’ils diraient si c’était Poutine ou Orbán qui réprimaient ainsi des manifestants chez eux ! Ce serait 20 minutes au 20 heures tous les soirs. Imaginez ce qu’ils diraient si les victimes venaient des quartiers de l’immigration ! Souvenez-vous du battage fait autour du mythomane escroc Théo, prétendument victime d’un viol à Aulnay. Mais là, cela ne compte pas : les victimes sont, pour l’essentiel, des Français ou des Françaises de souche. Vous parlez, quelle importance ! »

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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 10:29

Il faut dire qu’il a fait fort. Entre 2002 et 2004, alors qu’il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur, l’énarque s’est versé chaque mois 5.000 euros, un montant s’ajoutant à un salaire de 8.000 euros et à des indemnités de 2.200 euros. Des fonds piochés dans une enveloppe de 10.000 euros mensuels, destinés aux frais d’enquête et de surveillance des policiers.

Certes, le ministre de l’Intérieur n’était pas le seul à piocher dans la caisse. L’ancien directeur de la police nationale, Michel Gaudin, et Daniel Canepa, ex-collaborateur de Claude Guéant au cabinet à l’Intérieur, se servaient aussi largement et leurs pourvois ont également été rejetés, confirmant les condamnations antérieures.

Au total, ces braves gens ont détourné 210.000 euros. Au terme de l’enquête, il est apparu que Claude Guéant en avait gardé la moitié et distribué le reste à trois de ses collaborateurs.

Pour sa défense, il a assuré qu’il s’agissait là d’« une pratique qui faisait partie des usages du ministère ».

Comme les voitures brûlées, les soir de réveillon : us et coutumes à la française, en somme… Un conseil, Monsieur Guéant : n’allez pas raconter ça sur les ronds-points.

D’autant que l’ancien ministre a encore une batterie de casseroles aux fesses. Parmi elles, une affaire de tableaux : deux œuvres du peintre flamand Andries van Eertvelt qu’il aurait vendues à un avocat malaisien pour la coquette somme de 500.000 euros quand ils n’en valent pas plus que 50.000, disent les experts. Somme trouvée sur son compte bancaire dans le cadre de la perquisition sur le financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.

Impliqué aussi dans l’affaire Tapie, accusé d’avoir conservé du mobilier national ou encore favorisé des emplois fictifs, le zélé « commis de l’État » n’est peut-être pas au bout de ses peines (de prison).

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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 10:20

"Je vais sans doute encore choquer quelques bons esprits, mais je ne suis pas de ceux qui se réjouissent de l’arrestation de Cesare Battisti. Les faits qui lui sont reprochés sont vieux de quarante ans et s’inscrivent dans le cadre d’un contexte politique (les « années de plomb ») qui est aujourd’hui révolu. En pareil cas, je suis partisan de l’amnistie. Carl Schmitt, qui a écrit de très belles pages sur ce sujet, a maintes fois rappelé que, par opposition à la loi du talion qui ne veut jamais rien oublier, l’amnistie est l’une des formes les plus civilisées de la pensée et de la pratique judiciaires en Europe. C’est aussi mon avis."

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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 10:16

Ils sont quatre anciens présidents de la République – Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande – à bénéficier des rivières de diamants de la part de la nation qu’ils ont été appelés à diriger.

Le général de Gaulle auquel ces quatre hommes se réfèrent sans sourciller avait, lui, décidé de refuser de bénéficier de cette manne… républicaine. Ne serait-ce pas un signe important de solidarité que ses quatre successeurs encore en vie décident, à leur tour, d’abandonner leurs droits à cette rente à vie, dont le montant est une insulte à ce que touchent nos paysans et les plus modestes de nos retraités ? Et si, par bonheur, Emmanuel Macron n’est pas réélu en 2022, il sera le plus jeune retraité de France puisqu’il n’aura que 44 ans… Faudra-t-il que la République lui verse une pension hors-sol pendant une cinquantaine d’années ?

Pourquoi ces anciens Présidents bénéficient-ils d’avantages aussi faramineux ? Comme une quinzaine de gendarmes chargés d’assurer la sécurisation de leurs résidences. Comme des locaux meublés et équipés. Comme un secrétariat de sept collaborateurs pendant les cinq premières années, nombre qui se réduira à trois jusqu’à leur mort ! J’allais oublier la voiture et son chauffeur !

On a estimé que, chaque année, VGE coûtait ainsi 2,5 millions d’euros, Sarkozy 2,2 millions et Chirac 1,5 million. De l’argent dont ils n’ont pas trop l’usage, au vu de leurs revenus ordinaires.

Quant à Hollande, le jeune retraité, il touche, depuis mai 2017, 5.184 euros comme ancien locataire de l’Élysée, plus 6.208 euros comme ancien député, 3.473 euros comme ancien conseiller référendaire de la Cour des comptes et 403 au titre de diverses fonctions secondaires.

Mais ce n’est pas fini, car la générosité de Marianne étant apparemment sans limite, le trésorier du Conseil constitutionnel va lui verser, à vie, un chèque de 12.000 euros bruts. Soit, au total, 27.000 euros par mois. Retraite nette annuelle de M. Hollande : 324.000 euros. Autant dire des broutilles auxquels nous devons rajouter tous les frais des nounous gendarmesques, des secrétariats, du chauffeur et de la voiture, etc. Ces chiffres donnés par l’iFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) ne sont, hélas, pas contestables et montrent combien, en fin de compte, la politique rapporte gros. On peut donc comprendre la colère populaire qui ne concerne pas que ces parachutes dorés puisque Marianne réserve d’invraisemblables privilèges à des milliers de fonctionnaires dont certains sont rémunérés 300.000 euros par an, des députés, des sénateurs, des présidents de commission, etc.

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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 10:08

Pôle emploi dispose désormais du pouvoir de supprimer une partie ou la totalité du revenu de remplacement – l’assurance-chômage que perçoit un salarié licencié ou dont le contrat s’est terminé, et pour laquelle lui et son employeur ont cotisé.

Avant la parution du décret, le 30 décembre 2018, qui définit les nouvelles règles de contrôle des chômeurs, la suppression du revenu des indemnités chômage nécessitait une saisine du Préfet. « Désormais, pôle emploi a tout pouvoir. Il n’y a plus de regard extérieur », s’inquiète Émilie, qui travaille depuis plus de 30 ans auprès des demandeurs d’emploi en Bretagne, depuis l’époque des Assedic devenues Pôle emploi en 2009. Elle craint de voir le sens de son travail lui échapper totalement : « Nous ne sommes pas là pour sanctionner et radier les gens, nous sommes là pour accompagner les personnes en recherches d’emplois et calculer leurs allocations au plus juste. »

Ce contrôle et ces sanctions renforcés doivent être mises en place via de nouveaux formulaires et logiciels que les conseillers ne maîtrisent pas encore. Et pour cause : ils n’ont pas eu le temps de complètement se familiariser avec les « nouveaux » logiciels précédents…

 « Cela fait partie des méthodes modernes de management du personnel, tempête Daniel. Il ne faut jamais être sûr de soi, jamais être en confort. Chez nous, on est fermés au public un jour par mois pour digérer les nouveautés informatiques, sans réussir à le faire du reste. Même les plus zélés, qui acceptent de faire des heures et des heures en plus pour pouvoir se mettre à jour n’y arrivent pas, c’est impossible. »

Une recherche d’emploi jugée insuffisante, une « non présentation à une action de formation » ou refuser deux offres d’emploi considérées comme « raisonnables » indépendamment du niveau de salaire et des conditions de travail sont soumises à la même progression exponentielle des sanctions que les absences aux rendez-vous, avec une suppression des indemnités à la première erreur. « C’est la double peine automatique, dénonce Daniel. La personne est suspendue pendant un mois. Et quand elle se réinscrit, on lui impute un mois. Elle se retrouve avec deux mois sans revenus. » « Ceux qui ont des facilités, qui se débrouillent avec l’outil informatique, il n’y aura pas trop de soucis pour eux, intervient une collègue. Mais les personnes qui sont loin de l’emploi, qui ne sont pas autonomes vis à vis du système informatique, ça va être plus compliqué pour elles. Elles vont se retrouvées de plus en plus précarisées. »

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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 10:01

Fin 2019, Leboncoin, Blablacar ou Airbnb seront obligés de transmettre un récapitulatif annuel des sommes perçues via leur système de paiement. Toutes les transactions réalisées depuis le 31 décembre 2018 seront ainsi compilées puis délivrées au fisc avec l’IBAN ou BIC du vendeur.

Si l’idée générale est d’éviter que tout contribuable oublie de déclarer ce qu’il gagne, c’est surtout une mesure pour que les gros utilisateurs n’échappent pas à l’impôt. Les chineurs du dimanche ne sont pas ciblés. Ni ceux qui co-consomment sans but lucratif ou qui utilisent ces plates-formes pour partager des frais, comme les adeptes du covoiturage.

Et pour cause. La loi prévoit d’imposer seulement les internautes qui perçoivent plus de 3 000 euros sur une année et dont le nombre de produits vendus excède 20 par an. Concrètement, si vous réalisez une vente à plus de 3000 euros mais qu’au total vous avez vendu moins de 20 articles pendant l’année, le site ne communiquera pas vos données de transactions et vous ne serez pas soumis à cet impôt. Dans la même logique, si vous gagnez moins de 3 000 euros en un an mais vendez plus de 20 produits, vous y échapperez également.
Résultat : pour les utilisateurs concernés, le fisc pré-remplira leur déclaration de revenus avec les informations transmises sur l’année écoulée. Le calcul tiendra ainsi compte des revenus générés en ligne, même entre particuliers.

Pour toute location d’un bien via une interface comme Airbnb, il n’y a pas de dérogation : toutes les transactions seront envoyées directement au fisc puisque soumises au régime des micro-entreprises du Code général des impôts. La législation en vigueur prévoit un abattement fiscal de 50% pour les « loyers » perçus à partir de 760 euros par an. Pas de nouveauté ici, exceptée la méthode.

Rappelons que malgré le prélèvement à la source, chaque contribuable devra remplir un avis d’imposition en 2019 et pourra alors contrôler les informations pré-remplies par la Direction des finances publiques. Quitte à corriger ensuite le montant signifié.

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19 janvier 2019 6 19 /01 /janvier /2019 09:51

Ils seraient ainsi plusieurs milliers dispersés dans divers points de Paris, notamment Porte de la Villette où une centaine de tentes sont occupées par des soudanais, des érythréens et des somaliens. Un campement totalement insalubre, bordé d’immondices.

Les associations pro-migrants réclament bien évidemment  une prise en charge rapide de ces clandestins qui seront alors immédiatement remplacés par d’autres, aucune solution politique n’étant apportée aux phénomènes migratoires.

L’Ile-de-France a en effet  connu une augmentation de 45 % du nombre de demandeurs d’asile en 2018 qui a naturellement saturé les centres d’hébergement.

Selon les associations, ce sont plus de 2000 migrants qui seraient actuellement à la rue dans Paris,  contre environ 1700 une semaine auparavant.  Une  croissance exponentielle qui pourrait amener le chiffre total à près de 4000 à la fin de l’hiver.

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12 janvier 2019 6 12 /01 /janvier /2019 10:26

Les lieux du Pouvoir à Paris :

 

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12 janvier 2019 6 12 /01 /janvier /2019 10:06

L'appel est lancé sur les réseaux sociaux. L'alternative proposée consiste à retirer de l'argent liquide. Or le retrait massif des économies pourrait entraîner la faillite des banques.

Ruée bancaire, panique bancaire ou course aux guichets, le "bank run" est la nouvelle arme proposée par les "gilets jaunes" qui appellent à retirer leur épargne des banques. Lancé sur son compte Facebook par l'un des leaders du mouvement, Maxime Nicolle, alias "Fly rider", cette initiative a été baptisée le “référendum des percepteurs”. "On va retourner aux urnes mais en passant par le distributeur” a déclaré le désormais médiatique Maxime Nicolle.

L’opération est simple, le maximum de personnes doit retirer le maximum de son épargne simultanément. C'est une manière d'obliger le gouvernement à accepter les revendications des "gilets jaunes". L’opération est prévue ce samedi 12 janvier, à 8 h. Si elle échoue, les "gilets jaunes" propose une autre tentative le mois prochain.
Risque-t-on une faillite des banques ?

Le risque peu probable peut être important. En effet, aucune agence bancaire ne possède les liquidités suffisantes pour fournir toute l'épargne de ses clients. Et si l'opération s'avérait efficace, les banques pourraient faire faillite.

Les spécialistes ne sont pour le moment pas trop inquiets. Il serait improbable pour eux qu'il y ait des retraits suffisants pour entraîner une catastrophe. Mais ce procédé n'est pas à prendre à la légère si les gens se ruent sur les distributeurs par peur d'un manque, cela pourra avoir des conséquences.

 

NDLR : concerne évidemment ceux qui ont encore de l'épargne !

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12 janvier 2019 6 12 /01 /janvier /2019 10:02

 Les « Gilets jaunes », et plus généralement tous les contribuables, seront intéressés d’apprendre que, selon les chiffres officiels du gouvernement, en 2018, la France aura versé 10,45 milliards (mds) d’euros pour l’APD (Aide publique au développement), soit 2 mds de plus qu’en 2015, 75% de cette somme allant à l’Afrique. Si à ces cadeaux faits grâce aux impôts des Français, nous ajoutons les 2 mds liés à l’asile et à l’intégration, le milliard de l’aide aux mineurs isolés et divers autres postes associés à la gestion de l’immigration africaine, comme l’aide médicale, ce sont au minimum 15 mds  (sans compter les dons faits par les régions), qui auront servi à contenter le Zambèze tout en rationnant la Corrèze...
A titre de comparaison pédagogique, le budget du ministère du Travail et de l’emploi est de 13,1 mds, celui du ministère des Solidarités et de la Santé de 9 mds, celui de la Sécurité de 13,64 mds et celui de la Justice de 7,29 mds...

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