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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 10:06

 

En octobre 1914, le sous lieutenant Jean Julien Marie Chapelant est fusillé pour insoumission, refus d’obéissance et désertion. Originaire d’Ampuis, commune située au sud de Lyon, le sous lieutenant Chapelant a tout de même son nom sur le monument aux morts. On notera aussi qu’il était déjà célèbre grâce à l’écrivain Humphrey Cobb depuis 1935 et popularisé par le film de Stanley Kubrick, « les Sentiers de la Gloire » sorti en 1957 et longtemps interdit en France, par un respect patriotique qui se comprend aisément. Cet officier était en effet exemplaire dans la mesure où il était mort pour rien. Et sa prétendue désertion, pas prouvée du tout d’ailleurs, baignait dans un décor bucolique puisque c’était  le fameux « Chemin des Dames », lieu d’élégance et d’amours rustiques qui fait imaginer des ombrelles pour se protéger des balles perdues. Et je ne parle pas des rendez-vous furtifs sous la mitraille, qui donnaient une saveur érotique plus forte encore, à ces promenades idylliques.

Or, il va être « réhabilité » par le Ministre des Anciens combattants, Kader Arif, ce lieutenant fusillé pour l’exemple !

On imagine le soupir de satisfaction de ce soldat de la Grande Guerre. Il va enfin pouvoir reposer la conscience en paix, après un siècle de cauchemars au cours desquels il se réveillait régulièrement, en proie à des migraines, causées par cette condamnation à mort jugée enfin injustifiée. Car on a beau avoir été étripé au Chemin des Dames, ou fusillé par un peloton d’exécution, les faits manquent de poésie.

On l’imagine désormais s’étirant enfin dans sa tombe, reprenant la fière allure du combattant honorable, ayant à son actif, probablement, plusieurs cadavres de boches. Il n’a donc pas démérité ! Evidemment les esprits mesquins pourront toujours dire que cette réhabilitation, même tardive, ne s’accompagne pas d’une résurrection ! Cet officier aurait pu attendre le Jugement Dernier mais nous considérons que 99 ans c’est déjà la preuve d’une patience exceptionnelle.

Les amateurs de statistiques seront heureux d’apprendre que l’Armée française fusilla, pour l’exemple, 800 jeunes au cours de cette superbe empoignade qui dura, non pas quatre ans mais 52 mois. Les mêmes amateurs de chiffres seront heureux d’apprendre que 66% d’entre eux furent exécutés durant les dix sept premiers mois de la guerre. Voilà qui fera grand plaisir au Lieutenant Chapelant et on espère que la nouvelle se répandra largement dans les cimetières militaires. Ces chiffres nous sont fournis par un amateur de calculs guerriers, dont le nom mérite de passer à la postérité. Il s’agit du Général André Bach, ex chef du Service historique de l’Armée de Terre (en abrégé SHAT) dont le siège est installé à Vincennes, un lieu protégé des projectiles en 1914 et même climatisé aujourd’hui. En octobre 1914, on n’y était pas distrait par le bruit des canons, toujours préjudiciable à la qualité d’un travail de bureau, et susceptible de provoquer une erreur dans les additions, par exemple.

Ces 800 jeunes soldats, en effet, se retournaient, et beaucoup se retournent encore, dans leur tombe, tenaillés qu’ils sont par l’injustice de leur sort. Car, non seulement, ils ont été massacrés, mais certains prétendent, pour se vanter, avoir souffert ! Ces mensonges sont insupportables et ce sont bien des mensonges puisqu’ils n’ont pas été jugés selon les règles du droit. Notez que, mensonges ou pas, ils ont, dans le pire des cas, refusé de participer à la pire des barbaries humaines. Ils se sont, pour les moins hardis, sauvés devant l’ennemi, pour éviter une baïonnette qui, en vous transperçant les intestins, dans la boue et sans aucune mesure d’hygiène, peut s’infecter par la suite, voire provoquer des hémorragies. En ce qui concerne le sous lieutenant Chapelant, on peut dire qu’il a évité le pire, qui est l’oubli, dans une guerre mondiale. En effet, à Ampuis, on l’avait inscrit sur le monument aux morts de la commune.

Mais, comme vous êtes exigeants, vous allez me demander : comment en est-on arrivés là ?

C’est une longue histoire. Son père avait d’abord tenté de prouver qu’il ne s’était nullement sauvé devant l’ennemi. Puis le 5 novembre 1998, à Craonne, dans le département de l’Aisne, Lionel Jospin « avait estimé que les mutins devaient réintégrer aujourd’hui pleinement notre mémoire nationale ». Cela partait d’un bon sentiment. On se rappelle que les parents de Lionel adhéraient à l’Union Pacifiste... Lionel arrivait tard, certes et il était difficile de réinsérer efficacement un ancien aussi âgé et bien handicapé pour un travail, même peu fatigant.

De toute façon, Jacques Chirac avait jugé cette « déclaration inopportune ». Il savait de quoi il parlait puisqu’il avait été lui-même « blessé au visage » en 1956 en Algérie. Certes, la blessure n’avait pas laissé de cicatrices trop voyantes. A moins que l’on considère que son aspect physique ait été dû à un traumatisme qui lui avait délabré le cerveau et provoqué cet air très sévère qu’il portait sur les citoyens ordinaires, qui n’étaient pas des héros pur porc, élevés en Corrèze, comme lui, et habitués des comices agricoles.

Pourtant c’est ce Mr Sarkozy qui fait la plus belle déclaration, le 11 novembre 2008, à Douaumont, en disant : « Beaucoup de soldats exécutés ne s’étaient pas déshonorés ». Toutefois, cette compassion et ce sens de la justice ne le poussèrent jamais jusqu’à prendre une position sur leur « réhabilitation ».

Il est vrai que s’il fallait réhabiliter toutes les victimes de toutes les guerres depuis les origines du monde, la dépense de papier serait considérable. Car les assassins aussi bien que les victimes sont allongés souvent dans les mêmes cimetières, réconciliés à jamais.

Ainsi que le titrait feu « Charlie Hebdo », à propos d’une des nombreuses guerres qui agrémentent le paysage un peu partout dans le monde : « Les morts ont encore perdu la guerre ! »

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:47

A COMMANDER MAINTENANT : editions.impossible@yahoo.fr

 

Ploq

Nous sommes heureux de vous annoncer la publication d’une autobiographie de Max Ploquin, qui fut un obstétricien novateur et qui anima notamment le Planning Familial. Mais il est encore davantage.

Il a, par son dévouement, par son attitude humaniste, fait avancer l’idée d’accouchement sans douleur, d’abord dans une commune rurale de l’Indre, Saint-Denis de Jouhet, avant d’être connu sur le plan national.
C est son expérience et la vie quotidienne dans son département qu’il raconte, sans aucune prétention, dans un ouvrage à la portée de tous et qui peut intéresser tous les publics.
On peut dire qu’il a popularisé en particulier la libération de la femme, autrefois enfermée dans l’adage célèbre et faussement rapporté : « Tu enfanteras dans la douleur ».
C’est pourquoi les chrétiens ont apporté leur confiance à Max Ploquin, qui porta la bonne parole jusque dans l’Enseignement supérieur.
Max Ploquin fonda le Festival International DARC, dont le stage attire des amateurs de danse de tous les pays du monde.
Le livre est souvent drôle, bien que foncièrement sérieux.
Il devrait trouver un large public.

Format 15 x 21 cm - 340 pages – couverture couleur -  Préface : Rolland Hénault - Prix public : 21€ + frais d'envoi.


PARUTION : LE 8 DECEMBRE 2012


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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:34

Avec la participation de Rolland Hénault :

 

Affiche-Fem-et-Justice.jpg

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:31

 

Encore des flics pour accompagner nos soirées automnales et frileuses devant la télévision. Cela se passe au Havre et sur France 2, et la série s’intitule « Deux flics sur les docks ». Les rôles principaux sont tenus par Jean-Marc Barr (Faraday) et Bruno Solo (Winckler). Pour le respect des quotas, le scénario leur a adjoint, au fil de l’enquête, une jeune et jolie fliquette qui semble traîner un phénoménal vague à l’âme. C’est que la vie de policière débutante n’est pas toujours rose. Le téléfilm débute, en effet, par l’expulsion de familles des logements qu’elles occupent. « Aider les huissiers à mettre les gens dehors, c’est ce que je déteste le plus dans ce métier », déclare la belle humaniste désolée à ses collègues, qui la comprennent. L’épisode ayant probablement été tourné sous l’ère sarkozyste, on se dit que le blues de la demoiselle ne s’arrangera pas de sitôt si l’idée vient aux Roms d’aller visiter l’estuaire de la Seine.

Le duo parfois trio opère sous les ordres d’une autre jeune (et jolie) femme. C’est une Black, comme on dit maintenant. Statistiquement, la série permet d’emblée de placer la Haute-Normandie en tête des régions phares dans le domaine de l’accès des femmes à de hautes fonctions et celui, ô combien progressiste, de la discrimination positive.

On aura compris que nous ne sommes pas là dans la violence et le délire tous azimuts américains. Ici, pas de poursuites en bagnoles, pas d’entrée fracassante et surarmée dans des appartements suspects, pas de gifles ou d’insultes à l’interrogatoire, même pas un coup de feu, même pas de flingues. Non, dans la police française, surtout en province, ce qui domine c’est une sorte de philosophie mélancolique, que favorisent ici le bord de mer et la grisaille du ciel normand. Cela donne des dialogues où chaque réplique prend des allures d’aphorisme, de maxime ou de sentence intellectuelle d’où émane le plus souvent un pessimisme à la Schopenhauer.

Le mort du téléfilm est un jeune homme, enchaîné nu sur les rails d’un funiculaire. Un habitant du quartier l’aurait vaguement entendu appeler au secours. Cela nous vaut cette repartie du personnage incarné par Bruno Solo, une sorte de Cioran entré dans la police : « Aujourd’hui, c’est la dernière chose à faire si tu veux qu’on te vienne en aide. » Noir, c’est noir, comme dirait cet autre philosophe… Le défunt, apprend-on, fréquentait le siège d’une association humanitaire havraise. Faraday s’y rend, avec une nonchalance qu’aurait pu lui envier l’inspecteur Derrick et qu’il traînera tout au long de l’épisode. Là, il interroge vaguement une jeune femme avenante et, comme le flic français présente un physique moins ingrat que son célèbre homologue allemand, on sent que le courant passe entre les deux personnages. Au point que la scène suivante, le soir venu, nous montre le policier, manifestement conquis par la cause humanitaire, collant lui-même les affiches de l’association au côté de la jeune femme. Celle-ci, s’étonnant du savoir-faire policier dans le maniement de la brosse, lui demande d’où lui vient cette dextérité. « Avant d’être flic, j’ai fait le coup de poing contre les fachos », répond-il. On comprend que cet ancien chasseur de fachos ait choisi d’entrer dans la police. C’est là où il y en a le moins, ça le repose…

Et ça continue… Ayant aperçu son collègue dans sa promenade nocturne accompagnée, Winckler lui assène, le lendemain au commissariat, une petite moquerie sur sa soudaine et touchante conversion au militantisme. Faraday lui répond alors un truc du genre : « Ça te va bien de dire ça, toi ! » Et le policier Winckler de lever alors un poing serré et de lancer : « Anarchistes de père en fils, et fiers de l’être ! »

Programmé au lendemain de l’extradition vers l’Espagne d’une militante basque coupable d’avoir participé à des meetings outre-Pyrénées, on se dit qu’avec des flics pareils Aurore Martin eût mieux fait d’œuvrer pour l’indépendance de la Haute-Normandie. C’est pas eux qui l’auraient livrée aux Anglais !…

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:19

 

C’est l’alliance inattendue du groupe Zebda et de Jean-Pierre Filiu, professeur à Sciences Po, spécialiste du monde islamique et auteur d’un livre récent, « Histoire de Gaza » (Fayard, 2012).

Leur collaboration, Zebda à la musique, Filiu aux paroles, a donné naissance à une chanson et à un clip sur ce territoire palestinien et ses habitants toujours soumis au blocus israélien.

Mais ce n’est après tout pas si surprenant, car si Jean-Pierre Filiu est l’auteur de plusieurs livres de science politique, il est aussi un spécialiste reconnu de ... Jimi Hendrix (et en juin dernier il nous rapportait de Benghazi une belle rencontre avec des rappeurs libyens) !

De là à travailler avec le groupe toulousain pour attirer l’attention sur le sort des Palestiniens, il n’y a qu’un pas que nous ne sommes pas surpris de le voir franchir.

Le Crif dénonce une chanson de Zebda 

Le clip tourne depuis le 7 octobre. Fruit de la collaboration d’un universitaire, Jean-Pierre Filiu, professeur d’histoire à Sciences Po Paris et auteur d’Une histoire de Gaza (Fayard), et du groupe Zebda, il a été diffusé par France Télévisions. C’est ce dernier point qui semble particulièrement scandaliser le Crif, qui estime qu’Une vie de moins risque de promouvoir la haine d’Israël chez les jeunes". Dans une tribune publiée le 15 octobre, maître Bertrand Ramas-Muhlbach condamne le clip, "un produit de propagande anti-israélienne tout à fait hallucinant". (02 Novembre 2012 - Avec les agences de presse)

 

Accès à la chanson : www.Assawra.Info/viedemoins.htm
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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:10
L'association France Palestine créée il y a maintenant deux ans dans l'Indre, organise deux fois par an une soirée "Ciné/Débat", ces rencontres ont pour but de faire mieux connaitre l'histoire du peuple palestinien à travers des films et des rencontre avec des spécialistes présents pour débattre et discuter avec vous de la Palestine.
 
Je rappelle l'objet de notre association: Développer lamitié et la solidarité entre le peuple français et le peuple palestinien et duvrer pour létablissement dune paix juste et durable au Proche-Orient fondée sur la reconnaissance des droits nationaux du peuple palestinien, sur la base du droit international.
 
Pour développer cette amitié nous vous invitons le samedi 17 novembre à 20h00 
à la maison de quartier Est (St-Denis-Le Fontchoir)
située rue Jules Massenet à Châteauroux,
 
 pour la projection du film de Nabil Ayouch "My Land" ce film de 2012, donne la parole à de vieux réfugiés palestiniens qui ont fui en 1948 sans jamais retourner sur leur terre, et qui vivent dans des camps au Liban depuis plus de 60 ans. Cette parole est entendue par de jeunes israéliens de 20 ans qui construisent leur pays, se sentent viscéralement attachés à leur terre, mais sans jamais vraiment savoir expliquer pourquoi. Entre ces deux mémoires, il y a une réalité. La réalité de deux peuples qui se battent pour la même terre. Il en ressort un dialogue à distance qui met en perspective ce conflit sous un angle avant tout humain.
 

Nos deux invités seront: Isabelle Avran

> - Journaliste-historienne - Ancienne secrétaire générale de lAssociation France-Palestine, co-fondatrice de la plateforme des ONG françaises pour la Palestine, et ancienne vice-présidente de lAssociation France-Palestine Solidarité. Spécialiste de lhistoire du Proche-Orient et du conflit israélo-palestinien

> - Derniers ouvrages parus et ouvrage majeur Palestine, un Etat, deux Etats ? (co-auteure), Actes Sud, 2011, Sarkozy au Proche-Orient (co-auteure), Actes Sud, 2010, Les Banlieues, le Proche-Orient et nous (co-auteure), LAtelier, 2006, Les Inventeurs de Paix, LAtelier, 2001.

> et Taoufiq Tahani: Vice-président de l'AFPS Nationale.

> Et comme d'habitude pour le plaisir d'être ensemble Thé à la menthe et gâteaux seront servis aux participants.

> L'entrée est libre, elle commence à 20h00 pour se terminer à 23h00.

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:05

 

Des représentants de partis politiques, syndicats et associations, réunis samedi à Bayonne, ont demandé au président des explications sur l'arrestation de la militante basque. Manuel Valls assure «n'avoir pris aucune décision» dans cette affaire.

Après Manuel Valls, c'est au tour de François Hollande d'être la cible d'attaques à gauche. Les condamnations se multiplient à l'égard du président et de son ministre de l'Intérieur depuis l'interpellation, jeudi, de la militante de Batasuna Aurore Martin, la première Française remise à l'Espagne dans une affaire basque. Lire la suite

 

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:03

 

It's the economy, stupid ! » (C'est l'économie qui importe, idiot !). Cette phrase permit à Bill Clinton de gagner la présidentielle en 92 contre Bush dont le bilan emploi était désastreux. Sous Clinton, le chômage ne cessa de grimper, et l'inégalité aussi. Et aujourd'hui ? Est-ce le président qui décide ? Ou l'économie ? C'est-à-dire d'autres gens - non élus - au-dessus du président. Voici, présentés en textes et dessins, les 10 chiffres clés qui résument la situation économique et sociale des USA. Pour comprendre l'essentiel. Quel que soit le président.
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Voir les 10 chiffres

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 08:58

Action extrêmement urgente ! La commission des Affaires sociales du Sénat vient d'adopter un amendement visant à augmenter fortement la taxe sur l'huile de palme. Menace pour la santé et l'environnement, sa nocivité est enfin reconnue dans un texte de loi dans un pays industrialisé. 

C'est un premier pas qui pourrait en appeler d'autres... s'il est franchi ! Car l'amendement n'a pas encore été voté par le Sénat et l'Assemblée nationale. Vu les réactions de toutes parts dans les médias du lobby de l'industrie agroalimentaire, il est indispensable de montrer aux élus notre position sur l'huile de palme. Le temps presse car l'amendement sera examiné en séance publique dès la semaine prochaine... 

Veuillez signer notre pétition et nous aider à la diffuser au plus vite :

PÉTITION  

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 08:55

Bonjour à tous et a toutes,

Si je vous envoie ce message c'est parce que vous avez signé ma pétition "Non à l'Abattage des animaux de boucherie sans étourdissement" lancé le 18 février 2012 sur mesopinions.com et je vous en remercie.
Nous avons obtenu au total 36150 signatures que j'ai envoyé aux différents interlocuteurs (Président de la République, Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur, Ministre de l'Agriculture) fin août et je n'ai pour l'instant absolument aucun retour !

Ne baissons pas les bras et continuons de dire "NON à l'intégration du BARBARISME" en France !

Il y a quelques mois j’ai été contactée par des personnes qui étaient en train de mettre au point une application permettant de vérifier depuis son i-phone & Android, ou depuis son ordinateur si la viande provient d’un abattoir pratiquant l’abattage rituel ou pas.
Cette application étant maintenant en service, je vous transmets ce lien, il suffit d’entrer le code abattoir figurant sur l’emballage de la viande : www.verifiez-abattage.fr

Puisque malgré notre nombre nous ne sommes pas entendus, touchons au portefeuille de la filière en boycottant les viandes non étourdies.

Merci de transmettre ce lien au plus grand nombre de personnes.

« Non à l'abattage des animaux de boucherie sans étourdissement ! » Cordialement

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